Don’t Worry Baby

La comédie musicale qui célèbre les 40 ans de l’EJMA

2024/1984

Claire, universitaire de 25 ans, prend des cours de comédie musicale à l’EJMA sur son temps libre. Elle adore cette discipline mais a de la peine à prendre sa place. Les choses se compliquent lorsqu’elle commence à ressentir une grande anxiété dont elle ignore l’origine. 

Enio, immigré d’Europe de l’Est, la trentaine sonne à l’Hotêl de Ville de Lausanne tous les jours. Il veut le soutien des autorités pour créer une école de musique moderne et avant-gardiste. Aidé par les ami.e.s de son groupe de jazz et malgré les obstacles, Enio tente de ne pas perdre espoir…  

40 ans séparent ces deux protagonistes et pourtant quelque chose d’imprévu va les lier à travers le temps… 

‘Don’t worry baby’ s’empare de la mythologie autour de la création de l’EJMA dans une fiction totale qui met subtilement en parallèle les préoccupations de la jeunesse d’hier et d’aujourd’hui. Une ode à la passion pour la musique sous la forme d’un ‘Juke Box Musical’ mêlant Michael Jackson à Elvis, Pomme à Jimmy Cliff ou encore Cole Porter à Britney Spears ! Le tout interprété par les jeunes artistes multi-talent de la toute nouvelle filière intensive de comédie musicale de l’EJMA. 

À l’Arsenic
Rue de Genève 57
1004 Lausanne
Salle 1

ENTRÉE GRATUITE, RÉSERVATION OBLIGATOIRE

Livret et mise en scène : Frédéric Brodard
Direction musicale : Renaud Delay
Chorégraphies : Amélie Dobler
Création lumière : Jean-Marc Tinguely
Scénographie : Frédéric Brodard et Jean-Marc Tinguely
Production : Rayane Abdou, Bernadette Almesber, Loane Chabloz,
Théa Elliott, Emmanuelle Grignard, Kelly Juriens,
Maeline Kaufmann, Yasmine Lou Makki, Xavier Mettraux,
Yvan de Pury, Ludivine Rochat, Lucie Selzer,
Solène Vigand
Band : Florian Cosandey (trombone), Renaud Delay (piano), Max Doutriaux (basse), Ignacio Fernandez (piano, claviers), Paul-Henri Monge (batterie), Laure Noor Mili (trompette), Aro Ramamanjy (saxophone), Oscar Troillet (guitare)
Avec la participation du choeur de l’EJMA dirigé par François Monteverde